Isoskele et St johns: l’association en bonne intelligence de la data tech et de la créativité !

1 février 2022

INfluencia : certains ne prenaient pas très au sérieux cette agence au nom grec, adossée à un actionnaire inattendu du nom de La Poste… aujourd’hui vous rachetez l’agence St Johns, après avoir acquis CyberCité et TimeOne Group…

Olivier Laurent Bouas : oui c’est vrai, on nous a pris un peu pour des illuminés… Notre philosophie, nos croyances, notre certitude qu’il fallait jouer l’équilibre entre data, et créativité, ce cheval de Troie que l’on a mis du temps à mettre en place, a finalement convaincu assez vite les annonceurs, et en deux ans nous avons reçu plus de 55 prix, dont deux récompenses d’agence de l’année… L’association équilibrée et structurelle en amont, de la Data Tech, et de la créativité donnent naissance à des campagnes de qualité, stratégiques, dont l’objectif est clairement d’améliorer les business de nos clients.

IN. : cet équilibre que vous avez mis en place, cette « méthode » comme vous l’appelez, vous le n’avez pas peur de le rompre en introduisant une nouvelle recrue, St Johns… Pourquoi elle ?

O.L. B. : Pour commencer, il nous fallait une agence dont la création serait ouverte à l’utilisation de la data désormais incontournable. Vous allez me dire qu’Olivier Delhomme, DC multi-primé, pur produit de la pub… et qu’il ne marchera pas dans l’histoire… Mais, c’est lui qui le premier est parti vivre l’aventure d’Europa Corp, puis qui est allé chez Blue… Sa force, c’est sa puissance créative, mais aussi et au même niveau, sa curiosité et son esprit aventurier. De leur côté, Aurélien Rousseau et Bruno Fradin, anciens de grosses agences ont créé StJohns, il y a 10 ans et leurs campagnes pour de grandes marques telles que CULTURA, ST MICHEL, Nos Régions ont du Talent (E.Leclerc), Bio C’Boncorrespondent à nos valeurs.

IN. : comment sera organisée isoskèle, désormais ?

O.L.B. : la direction de création est assurée par Bruno Delhomme. Outre le développement de l’activité publicitaire, il accélérera, aux côtés d’Aurélien Rousseau, et Bruno Fradin, l’intégration du savoir-faire créatif dans les dispositifs digitaux de marketing à la performance, déjà initiée sous ma responsabilité en tant que DGA du pôle conseil et création d’Isoskele, qui compte 70 collaborateurs. Un timing parfait qui va nous aider à accélérer notre démarche autour de la Créative Performance, déjà illustrée pour SKODA et COMPAGNIE DES ALPES, cas clients remarqués et multi-primés cette année.

IN. : quel était votre cahier des charges pour dénicher la perle rare ?

O.L.B. : Une agence saine tout d’abord, il y en a beaucoup qui n’ont pas résisté aux dernières turbulences, un esprit de famille compatible avec le notre, une agence multidisciplinaire qui aime travailler « en groupe », car chez nous, le comité de direction est la plupart du temps rassemblé, et puis évidemment de l’ppétence pour des campagnes stratégiques.

IN. : et le leur ?

O.LB. : St Johns avait pas mal de prétendants, mais notre projet leur a paru plus visionnaire, mais ils sauraient mieux en parler que moi. cela a duré plus de sept mois, nous avons pris le temps de nous connaître… Et puis pour revenir sur un sentiment particulier… Je pense aussi que l’enjeu n’est pas le même lorsque l’on rejoint une agence différente, -dans le sens de la nouveauté et de la vision-, que de rejoindre un paquebot qui a déjà ses habitudes de longues date. Là, l’idée est de trouver nos marques ensemble, en avançant, nous sommes tous en route vers une nouvelle aventure. C’est important..

IN. : qu’appelez-vous creative performance ?

O.L.B. : c’est l’intégration naturelle en amont des projets, de l’ensemble des cultures (data, tech, création) qui va permettre de bâtir la stratégie la plus payante pour le client. La création n’est pas reine, la data n’est pas reine, etc. C’est l’intelligence du dispositif  pensé ensemble, autour d’une table, qui compte. Ou plus simplement, disons que l’association en bonne intelligence de la data tech et de la créativité accouchent forcément des campagnes de qualité.

IN. : la Covid ne semble pas avoir ébranlé Isoskele ?

O.L.B.  : non, de fait nous portions un projet fort, nous avions une énergie folle, alors nous avons vécu la covid sans le subir vraiment. Et puis contrairement aux salariés qui étaient confinés, nous étions en mode réunion tous les jours pour ainsi dire.

La fine équipe d’Isoskele pas tout à fait au grand complet!





source : www.influencia.net

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