LâAgence Insign, qui accompagne Cegid depuis 2018, a dévoilé une campagne rafraichissante qui donne la parole aux enfants des collaborateurs de son client pour leur demander comment ils imaginent leur avenir professionnel. Emy, cinq ans, souhaite par exemple pouvoir faire ses achats en lançant son yoyo, rien que ça. Mahé, dâun an son aîné, sâimagine travailler dans des bureaux flottant dans lâespace. Cyril, neuf ans, espère quant à lui avoir la possibilité de faire plusieurs métiers en même temps. Pour tous ces futurs professionnels, il ne fait nul doute que lâavenir de lâentreprise rime avec des choses que nos cerveaux d’adultes ne peuvent pas imaginer. Si les idées sont parfois loufoques, elles ne manquent pas de traduire des défis bien réels de lâécosystème professionnel que Cegid est prêt à relever. Comment joindre le rêve à la réalité commerciale, en somme.
Une porte pour aller voir lâavenir pour Mathis ? Aucun problème, les solutions fournis par lâéditeur permettent dâanticiper les tendances à venir grâce à une meilleure connaissance des attentes des équipes, et être ainsi prêts à tous les changements. Moins rêveur mais beaucoup plus pragmatique. Des boules de cristal pour effectuer les calculs à la demande de Lonnie ? Encore une fois, grâce aux solutions fournis par lâentreprise de ses parents, les chiffres nâauront, à lâavenir plus aucun secret pour elle. Vous voyez lâidée : à chaque rêve, une solution made in Cegid s’applique. Avec cette campagne, à la tonalité presque enfantine, Cegid démontre que ses solutions d’aujourd’hui s’adapteront au monde de demain. Les changements ne cessent de sâaccélérer et les évolutions sont nombreuses, diverses et imprévisibles, et lâéditeur a à cÅur de permettre à ses clients de naviguer dans ce monde qui reste à découvrir avec agilité que leur fournissent ses dispositifs RH.Â
Une campagne en deux tempsÂ
« Nous avons volontairement cherché à prendre le contrepied de ce que tout-un-chacun sâimagine lorsquâil pense aux solutions de gestion. Il sâest agi pour nous de donner la parole au futur, incarné naturellement par nos propres enfants : câest à leurs attentes que le monde de demain devra se conformer, car câest à eux que nous laissons la place. Nous avons tous en nous un enfant qui a grandi. Nous avons décidé de miser sur lâémotion de la découverte pour faire résonner cette campagne auprès de tous », explique Juliette Millier d’Arcangues, Directrice Générale Déléguée dâInsign.Â
Majoritairement digitale, cette campagne est visible sur les réseaux sociaux depuis le 13 juin dernier, ainsi que sur les sites de médias en affinité avec les cibles de Cegid et dans la presse spécialisée sous forme de bannières et dâhabillages. Elle durera jusquâau 11 juillet. Le second temps fort de cette campagne prendra place à la rentrée⦠sans plus de précision pour le moment. Les bambins que nous sommes devront faire preuve de patience. Les vidéos à destination des réseaux sociaux sont des spots dâune durée de vingt secondes chacun, mettant en avant un des verbatims des enfants, avec des illustrations permettant de faire le lien avec le réel.
Pour Valérie Thomassin, CMO de Cegid, sa maison « est avant tout une entreprise tournée vers lâavenir, à lâécoute de ses clients et à lâécoute de leurs besoins. Pour nous, évoluer, câest inclure dans les solutions dâaujourdâhui les défis de demain. En étant connectés à lâévolution de nos clients, nous leur ouvrons les possibles, tel est lâobjectif que Cegid poursuit depuis près de quarante ans ».
Que savons nous jusquâici
Pour ne pas laisser les plus jeunes se dépatouiller seul, lâInstitut de lâEntreprise et la Fondation Nationale pour lâEnseignement de la Gestion des Entreprises dévoilait le 10 juin dernier une étude réalisée par PWC sensée dresser le portrait de lâentreprise modèle de 2030. Au total, 100 entreprises, 10 associations professionnelles dont Entreprises & Médias, France Supply Chain et lâInstitut Français des Administrateurs, ainsi que 30 chercheurs académiques ont contribué à ce rapport prospectif, basé sur les retours des personnes interrogées et incitées à se projeter dans des « futurs plausibles ». Les résultats viennent confirmer une tendance de fond, martelé par bon nombre dâentrepreneurs ces dernières années : « Dâici 2030, les entreprises « intègreront complètement la responsabilité sociale, sociétale et environnementale à tous les niveaux de leurs organisations, activités, métiers et pratiques ». La RSE devrait donc concerner lâentreprise toute entière plutôt quâun seul département dédié.
« Depuis le XIXe siècle, la nature, les personnes, la société, la science, la culture, la liberté ont été perçues comme des ressources pour les entreprises. Aujourdâhui, nous attendons à lâinverse que les entreprises soient à leur service, et quâelles prennent pleinement part dans la résolution des défis qui nous préoccupent. LâEntreprise Full-RSE, câest lâentreprise de demain, fer-de-lance dâun modèle entrepreneurial à la française  », indique les auteurs de lâétude. « L’entreprise doit être portée par une conviction très forte, la révolution de la culture de l’entreprise est très importante », souligne ainsi Hélène Valade, présidente de lâObservatoire de la RSE. Comme le note le rapport, cela demandera dâengager des personnes capables de développer ces « compétences nouvelles et en perpétuelle évolution ». Le hic étant que les entreprises sont déjà confrontées à une pénurie de main dâÅuvre qualifiée dans le domaine de la RSE. Il y a déjà un an, une tribune du Monde appelait les recruteurs à dépasser les clichés sur le profil attendu des professionnels de responsable RSE : « la demande de recrutements pour assurer les missions « dâimpact positif » dépasse largement lâoffre de candidats ». De quoi pousser les entreprises à sâouvrir à la diversité, aux autodidactes et à tous les profils capable dâapporter ce petit supplément dââme ? Ce nâest finalement quâune question de survie.
source : www.influencia.net